« Arkhênum cherchait un opérateur de numérisation pour numériser des collections remarquables de ce qui allait devenir l’Institut national d’histoire de l’art, souligne-t-elle. J’ai tout de suite postulé, car la mission se déroulait sur site et la structure m’intéressait beaucoup ». Pendant six mois, elle dispose d’un scanner patrimonial dans une petite salle de la bibliothèque de l’Institut, jouxtant la salle Ovale au cœur du site Richelieu de la BnF. Elle numérise de très belles collections, parfois complexes, mais qui trouvent une réelle résonance avec son parcours.
